mercredi 25 mai 2011

Bloquer son téléphone mobile

-1- connaître son code IMEI
Le code d'identification IMEI d'un smartphone apparaît au dos de l'appareil, sous la baterie, sur l'étiquette de l'emballage ou en composant le *#06#

-2- porter plainte
Sur la déclaration de vol au commissariat, mentionner le code IMEI. Il sera envoyé directement par la police à l'opérateur.

-3- désactiver
L'opérateur bloquera immédiatement la carte SIM et désactivera le téléphone sous quatre jours, le rendant inutilisable.

Efficace !
Depuis la mise en oeuvre du dispositif, le 18 mars 2011, 9.259 mobiles volés ont été bloqués dans le grand Paris (dont 5.122 à Paris), soit 90 % des appareils déclarés volés (40 % des smartphones volés avec violence en 2010 étaient des I-Phone et des Blackberry).

Liens :
- Blocage des téléphones portables à distance en cas de vol (Zataz)
- Comment bloquer un smartphone volé? (L'Express)
- Comment bloquer un smartphone volé?
- The Block function of Anti-Theft in Kaspersky Mobile Security 9.0 (Windows Mobile)

gM

E-G8 à Paris les 24 et 25 mai 2011

... pré-tentatives de régulation de l'Internet par le G8 :-(

  • Eric Schmidt - Google
  • Jeff Bezos - Amazon
  • Mark Zuickerberg - Facebook
  • Jimmy Wales - Wikipedia

A eux quatre, ils pèsent plus de 17 milliards d'Euros, il sont présents dans la vie de près d'un tiers de l'humanité... 

Rendez-vous au jardin des Tuileries à Paris : échanger sur l'impact d'Internet et les NT sur la croissance, sur le respect de la vie privée, sur la propriété industrielle.
gM

lundi 23 mai 2011

Softpedia, Softonic, etc. : des partenaires

Il y a quelques années, en tant qu'internaute impliqué dans les forums, dans l'aide bénévole et dans la sécurité, je m'étais offusqué que Sofpedia vende un programme gratuit ou plutôt propose différentes options dont une gratuite avec téléchargement à partir du site officiel et une option payante à partir de leurs serveurs !

 

J'étais entré en contact avec le développeur américain pour lui signaler ce cas "révoltant" d'"escroc".

La réponse du développeur américain, c'est à dire une personne par définition pragmatique, avait été qu'il n'y voyait aucun inconvénient !
  • une analyse antimalware c'est à dire un programme clean
  • une fiche d'analyse c'est à dire un ensemble de conseils
  • un CLUF
  • la dernière version
  • un hébergement sur leurs serveurs c'est à dire une disponibilité et une durée de téléchargement assurées
  • une proc de téléchargement et d'installation
  • il y a de la technique et du marketing derrière - c'est un organisme professionnel
  • ils donnent confiance
  • ils touche d'autres catégories d'utilisateurs
Au final, le développeur me dit y trouver "son compte", la valeur ajoutée par l'organisme est jugée acceptable même si aucune autorisation n'a jamais été sollicitée...

~~  



Pour épauler les développeurs de gratuiciels, il y a :
  • il y a depuis longtemps Major Geeks, Cnet.com, Download.com, Tocows.com, etc. qui apportent de la notoriété, des contacts multipliés, des conseils avec guide technique, de la sécurité, un hébergement et ce service gratuitement même s'il y a de la publicité et même des pièges
  • Softpedia, Softonic et quelques autres organismes qui procurent les services listés précédemment avec contrepartie monétaire.
Ces organismes partenaires apportent un complément de service. On peut en trouver un exemple pour Malwarebytes' Anti-Malware

gM

mardi 17 mai 2011

Arrêter Windows 7 sans Windows Update

Lorsqu'il y a une mise à jour de Windows 7 en attente, la fonction Arrêter ne propose pas d'éteindre sans effectuer la mise à jour comme le proposait XP.
Cette fonction est pourtant parfois bien utile, par exemple lorsqu'on doit quitter les lieux rapidement !









Pour ce faire :
  • cliquez sur Démarrer
  • cliquez sur la flèche droite à côté de Arrêter
  • optez pour Fermer la session et attendez
  • en bas à droite de l'écran de connexion, cliquez sur l'icône Arrêter
  • choisissez Arrêter sans mise à jour

gM

samedi 14 mai 2011

Les informations privées de Facebook révélées

(ce billet est la traduction de “Facebook User Credentials Exposed” rédigé par Corrine, MS-MVP Consumer Security)

 Sans tenir compte des nombreux guides destinés aux membres de Facebook au sujet du respect de la confidentialité, la prudence est foulée aux pieds sitôt qu’un nouveau jeu à la mode, une cause à défendre ou quelque autre application Facebook séduisante se présente.

Malheureusement, Symantec a découvert que dans certains cas, par mégarde, des applications IFRAME Facebook ont transmis les jetons d’accès à des tierces parties. Selon l’analyse menée par Symantec relativement au mois dernier, il y a eu près de 100.000 applications permettant cette fuite des autorisations d’accès. 
La fuite "jeton d’accès" signifie que les clés contenant les permissions (comme l’accès à votre liste d’amis, poster sur votre mur et voir les informations personnelles autorisées à l’application), ont été fournies aux publicitaires et aux programmes d’analyses statistiques. 
Selon le Blog développeurs de Facebook, des mesures sont prises pour migrer les applications Facebook de l’ancien système d’authentification et HTTP vers “OAuth 2.0” (un processus de fourniture d’accès limité aux applications tierce partie et HTTPS).

Recommandations
  1. modifiez votre mot de passe Facebook car cette mesure réinitialise automatiquement tous les jetons d’accès donnés préalablement
  2. optez pour la navigation sécurisée (HTTPS) :
    • allez à la page de paramétrage, par Compte > Paramètres du compte
    • onglet Paramètres > cliquez sur "modifier" en regard de Sécurité du compte
    • Navigation sécurisée, cochez "Utiliser une connexion sécurisée (https)…" et cliquez sur le bouton "Enregistrer".
Références

Un grand merci à Corrine pour l’autorisation de traduire son article “Facebook User Credentials Exposed”.

Gérard Mélone, MS-MVP Consumer Security